Découvrez les coulisses du métier de DRH externalisé : missions clés, défis du quotidien et tarifs pratiqués. Un modèle agile, taillé pour les TPE-PME.
Ma vie de DRH externalisé – Missions, défis et tarifs
Mon quotidien de DRH externalisé
Concrètement, j’interviens quelques jours par mois dans chaque entreprise cliente. Cela peut aller d’une à deux journées mensuelles pour une TPE en structuration, jusqu’à plusieurs jours pour une ETI en transformation.
Je définis la feuille de route RH avec le dirigeant, je pilote les chantiers stratégiques, puis je m’appuie sur des office managers freelances pour l’opérationnel : gestion administrative, suivi des dossiers salariés, support quotidien aux équipes.
Cette complémentarité est clé : je garde le cap stratégique, ils assurent une présence régulière et un lien permanent avec les collaborateurs.
Je cherche un
office manager indépendant
Pour l’opérationnel RH pur : l’appui des office managers indépendants
Dans beaucoup d’entreprises, les besoins RH du quotidien sont très concrets :
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suivi des entrées et sorties,
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gestion des contrats et avenants,
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suivi des absences et congés,
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organisation des entretiens annuels,
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mise à jour des dossiers du personnel,
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préparation des éléments variables pour la paie.
C’est précisément là que l’office manager indépendant joue un rôle central. Avec une présence de 2 à 3 jours par semaine, il assure le relais indispensable entre les collaborateurs, le dirigeant et moi. Cela me permet de concentrer mon temps sur les enjeux stratégiques et complexes, tout en garantissant que l’exécution opérationnelle reste fluide, rigoureuse et humaine.
Depuis plusieurs années, j’ai choisi d’exercer mon métier de Directeur des Ressources Humaines sous un modèle externalisé. Une formule hybride qui séduit de plus en plus de dirigeants de TPE, PME et ETI, désireux de bénéficier d’une expertise stratégique sans alourdir leur masse salariale avec un poste à temps plein.
Pourquoi externaliser un DRH ?
La fonction RH a considérablement évolué. Elle ne se limite plus au recrutement ou à la paie, mais touche aujourd’hui à des enjeux complexes :
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conformité sociale et obligations légales,
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structuration des processus RH,
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accompagnement managérial,
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prévention des risques psychosociaux,
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pilotage des relations sociales et du dialogue avec les représentants du personnel,
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mise en place de politiques RSE et d’outils digitaux.
Un dirigeant de PME n’a pas toujours besoin d’un DRH au quotidien. Mais il a besoin d’une vision stratégique et d’un accompagnement de long terme pour sécuriser et développer son capital humain.
Mon quotidien de DRH externalisé
Concrètement, j’interviens quelques jours par mois dans chaque entreprise cliente. Cela peut aller d’une à deux journées mensuelles pour une TPE en structuration, jusqu’à plusieurs jours pour une ETI en transformation.
Je définis la feuille de route RH avec le dirigeant, je pilote les chantiers stratégiques, puis je m’appuie sur des office managers freelances pour l’opérationnel : gestion administrative, suivi des dossiers salariés, support quotidien aux équipes.
👉 Cette complémentarité est clé : je garde le cap stratégique, ils assurent une présence régulière et un lien permanent avec les collaborateurs.
Le plus clair du temps – Des missions de conseil RH très riches
Si la posture de DRH externalisé implique de piloter des chantiers stratégiques et de coordonner des ressources, le cœur du métier reste le conseil RH. Et c’est justement ce qui en fait toute la richesse.
👉 Le plus clair de mon temps est consacré à aider les dirigeants à prendre les bonnes décisions humaines, à anticiper les risques sociaux, à construire des politiques RH cohérentes avec leur projet d’entreprise.
Chaque échange, chaque réunion de cadrage, chaque document co-rédigé est l’occasion de poser les bonnes questions :
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Comment structurer une politique salariale juste et motivante ?
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Quelles compétences faudra-t-il demain, et comment les développer ?
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Faut-il revoir l’organisation pour accompagner la croissance ou la transformation ?
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Comment réengager les équipes après une crise managériale ou un changement de cap ?
🎯 Mon rôle est d’apporter une vision extérieure, neutre et bienveillante, tout en restant ancré dans la réalité de terrain de l’entreprise. Ce positionnement "miroir stratégique" est particulièrement apprécié des dirigeants, souvent seuls face à des choix humains complexes.
C’est d’ailleurs cette conviction — que le conseil RH doit être à la fois stratégique, opérationnel et profondément humain — qui m’a conduit à co-fonder le cabinet GO BLOSSOM.
Avec ce projet entrepreneurial, nous accompagnons les entreprises à chaque étape clé de leur développement, avec une approche agile, collaborative et engagée, centrée sur l’humain comme levier de croissance durable.
Cette dimension de conseil sur-mesure est ce qui différencie un DRH externalisé d’un simple prestataire RH : il s’agit de co-construire une stratégie sociale durable, pas de cocher des cases administratives.
Exemples de missions récentes externalisation DRH
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Mise en conformité et audit social pour une PME de 50 salariés.
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Création d’une politique de télétravail et accompagnement du management hybride.
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Accompagnement d’une ETI industrielle sur un plan de GPEC et d’attractivité employeur.
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Sécurisation des procédures disciplinaires et rédaction d’un règlement intérieur.
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Négociations collectives avec les représentants du personnel.
Chaque mission est unique, mais toutes partagent le même objectif : donner aux dirigeants une sérénité RH et aux salariés un cadre de travail clair et sécurisant.
Les défis de mon métier de DRH à temps partagé
Être DRH externalisé, c’est aussi relever plusieurs défis au quotidien :
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Gagner rapidement la confiance : je dois entrer dans l’entreprise, comprendre sa culture, ses enjeux et ses tensions… souvent en seulement quelques jours.
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Arbitrer entre stratégie et urgence : les dirigeants attendent des solutions concrètes et rapides, même sur des problématiques de fond. Il faut donc savoir équilibrer court terme et vision long terme.
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Composer avec la pluralité des clients : chaque entreprise a ses priorités, ses sensibilités et son rythme. Passer d’une ETI en restructuration à une TPE en forte croissance nécessite une grande capacité d’adaptation.
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Rester à jour : droit du travail, pratiques managériales, outils digitaux… le monde RH bouge vite, et je dois sans cesse me former pour rester pertinent.
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Créer du lien à distance : en n’étant pas présent chaque semaine, il faut trouver des relais internes (souvent les office managers) et des modes de communication fluides pour ne pas perdre le fil.
Ces défis font partie de la richesse de ce métier : il faut être à la fois stratège, pédagogue, médiateur et parfois pompier.
Parlons tarifs pour un DRH externalisé - à partir de 600€ HT / jour
Je facture mes prestations à partir de 600 € HT par jour. C’est le socle de mon accompagnement, aligné sur la réalité du marché français pour ce type d’expertise.
Selon la complexité du dossier, le degré de responsabilité ou la confidentialité des enjeux (fusion-acquisition, restructuration, plan social…), le tarif peut monter plus haut.
Ce modèle a plusieurs avantages pour les entreprises :
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pas de charge salariale liée à un CDI cadre,
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une flexibilité totale (volume d’intervention ajustable),
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un accès direct à un niveau d’expertise stratégique souvent inaccessible autrement.
En conclusion
Être DRH externalisé, c’est conjuguer agilité et expertise. J’ai le privilège d’accompagner des dirigeants dans leurs phases les plus critiques : croissance, transformation, ou crise. Mon rôle est de leur apporter un cap, une vision, et de sécuriser chaque décision RH.
Et si ce modèle fonctionne, c’est aussi grâce à la présence régulière d’office managers freelances, véritables bras droits opérationnels, qui assurent la continuité et la fluidité du quotidien.
Externaliser son DRH, c’est finalement s’offrir la compétence d’un directeur sans la lourdeur d’un recrutement, et investir dans ce que toute entreprise a de plus précieux : les femmes et les hommes qui la composent.
